O monument grand,
Je te vois de mon coin,
Te dresser jusqu'au firmament,
Et Amour ne s'en ressent moins!
O Chicago céleste
Tu ne m'as jamais dit: 'Reste!'
C'est pourquoi j'ai pris l'avion
Et fait mes adieux à ton horizon.
Et pour tes tours longues,
Drapées de brumes et d'attentes,
Moi qui vis dans l'enfer de Dante,
Je me raconte de pieux mensonges
Ô Dieu! Mon Amour et ma croix!
Que le ciel me garde de tes bras!
Que ta tour grande s'estompe mille fois
Mais qu'elle reste toujours en moi!
Et je te vois toujours de loin
Quand je rêve sur mon balcon
Monuments jusqu'aux quatres coins
Parfaites et étonnantes constructions.
tc
Sunday, May 15, 2011
A Triet un poème d'amour sur fond de gratte-ciel.:) Merci pour les photos.
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Incredible Thuy-Chau!
ReplyDeleteRomantic in every detail of the world
Whose poetry’s spreading joy in a such way as “ breathing with the waves of love”
Thank you Thuy-Chau for being the unique romantic “you”
Cheers from Liem
Thanks, KL. TC's beautiful poem is a fitting companion to those pictures.
ReplyDeleteTriet
Oh wow! You did it, TC. Hats off to you. What a wonderful, magical ode to urbanism. Thank you for sharing it with us. Have a great Sunday evening.
ReplyDeleteTriet
Merci Triet pour les superbes photos urbaines
ReplyDeletej 'aime beaucoup les photos de ville car on devine mille choses derrière ces bâtiments en béton et en verre qui semblent a priori sans âme
Merci Thuy Chau pour ces vers chantant la poésie des villes bétonnées !
Hy Hoà
PS je n' arrive pas à suivre tous les mails aussi m'excuse de ne pouvoir faire de commentaires réguliers sur vos superbes contributions !
dear Chau Dang,
ReplyDeleteTu parviens à rendre érotique le béton brut.
Un habile tour d'esprit que je salue ici,très sincèrement.
CTT